LO à l'indélicat qui m'a piqué mon journal
Une fois encore, vous avez subtilisé mon journal du dimanche de même que le magazine qui l'accompagnait. Jusqu'à présent, vous preniez la peine de les remettre là où vous les trouviez, c'est pourquoi je fermais les yeux sur cet emprunt même si cette manière d'opérer en douce m'agaçait. Ce dimanche donc, non seulement vous ne vous êtes même pas donné cette peine mais vous vous êtes absenté toute la journée m'empêchant de mettre la main sur mon abonnement. Un peu fort de café non ?
Voyez-vous, ce qui m'énerve le plus, ce n'est pas de récupérer ce lundi mon bien dans un état douteux, mais votre façon désinvolte de considérer la chose comme vous étant due. Vous m'avez dit "Désolé, ça m'est sorti de la tête !". Une chose est sûre, ça ne sort pas de votre portefeuille de retraité aisé. Et une autre ne l'est pas moins dorénavant, vous n'en disposerez plus. J'ai pris d'autres dispositions.
Non mais !
La balance.
ps : Y'en a marre d'être trop conne !